Vous voulez présenter votre candidature à l'élection présidentielle.

CE QU'IL FAUT SAVOIR

 

2.1. Conditions d’éligibilité
Pour être éligible au mandat de Président de la République, il faut :
- avoir 23 ans révolus (art. LO 127),
- avoir la qualité d’électeur (art. LO 127),
- ne pas être privé de ses droits d'éligibilité par une décision de justice (art. L. 6 et L. 199),
- ne pas être placé sous tutelle ou sous curatelle (art. L. 200),
- être en règle au regard des obligations relatives au service national (art. L. 45), telles
qu’elles étaient définies au moment où le candidat devait y satisfaire.

2.2. Présentation des candidats
2.2.1. Citoyens habilités à présenter un candidat
En vertu du I de l’article 3 de la loi du 6 novembre 1962 modifiée en dernier lieu par la loi
du 5 avril 2006, chaque candidat doit être présenté par au moins 500 citoyens, membres du
Parlement, des conseils régionaux, de l'Assemblée de Corse, des conseils généraux des
départements, de Mayotte, du conseil territorial de Saint-Pierre-et-Miquelon, du conseil de Paris, de
l’assemblée de la Polynésie française, du congrès et des assemblées de province de la Nouvelle-
Calédonie, de l’assemblée territoriale des îles Wallis et Futuna, maires, maires délégués des
communes associées, maires des arrondissements de Lyon et de Marseille ou membres élus de
l’Assemblée des Français de l'étranger. Les présidents des organes délibérants des communautés
urbaines, des communautés d'agglomération, les présidents des communautés de communes, le
président de la Polynésie française, le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie et les
ressortissants français membres du Parlement européen élus en France peuvent également, dans les
mêmes conditions, présenter un candidat à l’élection présidentielle.

 

2.2.2. Procédure de présentation
Les présentations sont rédigées sur les formulaires officiels imprimés par l'administration,
dont le modèle a été arrêté par le Conseil constitutionnel. Un formulaire est adressé par les soins de
l’administration, à compter de la publication du décret convoquant les électeurs, à chaque citoyen
habilité à effectuer une présentation. Les citoyens habilités à présenter un candidat, quel que soit le
nombre de mandats qu’ils détiennent, ne peuvent faire de présentation que pour un seul candidat.

Pour vous donner une idée voici le mémento poblié pour les élections de 2007

MEMENTO à l'usage des candidat

Encore une, mais pour moi c'est une de trop. Que les enfants se lèvent au son du chant de guerre qu'est notre hymne, je dis simplement non. On n'a vu par le passé ce que donne ce genre d'initiative, et je ne pense pas cela soit judicieux à réitérer.
L'enfant est une éponge à cet age, et ne fait qu'obéir, à ce que le maître lui demande de faire. Le changement que demande Monsieur Sarkozy, est une vrai régression. Quand on parle de changement, il vint souvent à l'esprit que c'est pour améliorer les choses. Mais là il est vrai il change les choses en imitant le passé. L'être humain est avant tout le seul à pouvoir faire preuve de créativité, inventer de nouveaux modes, en se libérant de son carcan de préjugé, de culture peut être. Pour ce qui est de l'école Monsieur Sarkozy, nous démontre qu'il ne fait preuve d'aucun sens de créativité, ce qu'il veut, c'est un retour en arrière. Comme si l'on pouvait remonter le temps!
Nos enfants viennent à l'école de la république, à mon sens, bien sur pour y acquérir des connaissance fondamentales, mais aussi pour devenir des être libres, créateurs de leur propre devenir. Ce sont eux qui bâtirons la société de demain. Ce n'est pas en se levant tous les matins devant un drapeau tricolore qu'ils comprendront le respect. Le respect de quoi, d'ailleurs je me le demande.

Alain Descoix

_ Mettre en chantier dix Ecopolis, villes et quartiers d’au
moins 50 000 habitants intégrant technologies vertes et
technologies de communication. (extrait du rapport Attali 2008)






L'utopie des années 60, il fallait loger des milliers de personnes et les pouvoirs de l’époque avaient réussi à faire croire qu’habiter une tour de 1000, 2000, ou 4000 logements pouvait être perçu comme un privilège.

Les habitants de l’époque se réjouissaient d’avoir une salle de bain et une prise électrique par pièce,où les échanges étaient favorisés par ce type d’architecture.

Le nom de ces ensembles faisaient rêver. Sur le modèle des cités radieuse de Le Corbusier on voit apparaitre des cités qui le sont beaucoup moins.

Mais qu’en est-il aujourd’hui.

Sur ces modèles utopiques, comme le mirail à Toulouse, des villes nouvelles à vocation écologique risquent de sortir de terre. Elles sont le reflet d’une demande, conditionnée par des tendances à la mode, et le besoin de sauver une planète qu’on ne cesse de détériorer. Que restera-il de ces villes modèles dans quelques décennies, avant de devenir des monuments classés au patrimoine.

A. Descroix

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